JOHN

master coach dynamo et fondateur de la méthode Impulsion.

Coach depuis : Mars 2015

Master coach depuis : Septembre 2018

Formation : Licence de psycho, BPJEPS AGFF et formation spécialisée en nutrition

Autres projets : MAO-DJ (création de musique) et Architecture-Immobilier

Mouvement préféré sur le vélo : Pompes, croisés devant-derrière

Musiques préférées : Deep & afro house, techno industrielle & mélodique, trip hop

Artistes préférés : Edward Hopper, Virgil Abloh, Marc Lagrange, Stephan Bodzin, The Cure, Aznavour, Boris Brejcha, Chopin

Endroit préféré pour les vacances : Tout endroit avec de l’eau transparente, un soleil doux et de bons cocktails

Péché mignon : Pop corn & Magnum double caramel, au cinéma

JEUNESSE

Je viens de Nancy, en Lorraine. Cette ville a l’une des plus jolies place d’Europe, la place Stanislas. Elle m’a accompagné toute mon enfance !

Dès le plus jeune âge, j’ai fait beaucoup de sport. C’est clairement une histoire de famille ! Mon père était footballeur (du dimanche). Il m’a donné le goût de l’effort et des terrains. Ma maman faisait beaucoup de course à pied, et des combats de bras de fer (toujours contre des hommes !). Même ma grand-mère est une grande sportive. A presque 82 ans, elle vient de faire le tour de la Californie, c’est vraiment une aventurière dans l’âme !

Par contre, je n’ai jamais eu un sport de prédilection. J’étais un peu “touche à tout”. J’ai fait beaucoup de foot – un peu trop je pense car je suis devenu allergique depuis. J’ai aussi fait du judo, du hand, de la piscine, du ski, de l’haltérophilie … Vous avez dit hyperactif ? Un peu, je vous l’accorde !

« Mon père était footballeur (du dimanche). Il m’a donné le goût de l’effort et des terrains. »

J’ai passé toute ma jeunesse à Nancy, mais à la majorité, j’ai eu envie d’aller dans une plus grande ville pour m’enrichir, me cultiver, rencontrer du monde, faire des choses folles, des choses que seulement les grandes villes peuvent nous donner l’opportunité de faire.

J’ai déménagé à Lyon pendant un an puis à Montpellier où j’ai fait deux ans de design d’espace. J’ai ensuite emménagé à Marseille où j’ai fait l’école supérieure d’architecture de Luminy.

Après cela, j’ai décidé de me réorienter vers le développement personnel. J’ai alors fait une année de psychologie à Boulogne, suivi d’un double diplôme d’Etat pour devenir Éducateur Sportif. En parallèle, j’ai passé un diplôme universitaire spécialisé en nutrition.

Pour approfondir ces connaissances, j’ai fait plusieurs formations et séminaires en développement personnel. Ce qui m’a particulièrement marqué c’est mon voyage à Londres pour rencontrer Tony Robbins avec 13 000 personnes. Il a partagé son expérience et sa vision du développement avec nous. C’était un moment inoubliable et très inspirant !

Même si j’ai changé de voie au cours de mes études, l’architecture m’anime toujours autant. J’aime construire, aménager les espaces, jouer avec la lumière, les couleurs, les matériaux. J’aime aussi tout l’aspect négociation, échange humain que l’on retrouve dans les métiers de l’immobilier. J’ai d’ailleurs en tête de développer quelque chose dans cette branche prochainement.

VOYAGES, MUSIQUE ET ÉCRITURE

A la fin de mes études, il était difficile pour moi de me poser et de me lancer dans la vie professionnelle. J’avais envie d’autre chose, de vivre de nouvelles expériences. Alors j’ai voyagé : au Brésil, au Chili, aux Etats-unis (Californie, NYC), en Europe, au Panama … Le voyage c’est important. On relativise vite sur sa vie. J’ai beaucoup appris de mon expérience dans les pays d’Amérique du Sud où la pauvreté touche une grande partie de la population locale.

En parallèle de mes voyages, j’ai développé une réelle passion pour la musique, devenue essentielle à mon équilibre de vie. Je crois que j’ai passé une bonne partie de ma vie à écouter de la musique. Ce lien avec la musique est difficile à expliquer mais c’est vraiment quelque chose de transcendant pour moi. Cela me donne des frissons, de l’imagination et surtout de la détermination. D’ailleurs, en écrivant ces lignes, j’écoute “Underneath The Stars” de The Cure, un de mes groupes préférés !

Pour nourrir cette passion, je crée aujourd’hui mes propres sons et je les mixe en live lors de soirées. Je joue également du piano et des percussions ce qui me permet d’enrichir mes créations musicales que je partage sur mon soundcloud.

Enfin, j’aime aussi beaucoup écrire. C’est plus personnel et solitaire. Je ne le partage pas vraiment mais cela me permet d’évoluer et de mieux comprendre où je souhaite aller. La réalité commence dans notre tête alors souvent je prends le temps de voyager dans mes pensées. J’essaye d’intégrer des choses pour que mes voyages mentaux prennent vie par l’écriture. Le fait de le poser en mots me donne une ligne directrice sur ce que je souhaite réellement faire et être. J’essaye d’être stratégique, de me créer une perspective. C’est important pour savoir où l’on veut aller. Quand on planifie, on s’occupe vraiment des choses. Quand on ne le fait pas, on subit et on laisse notre temps au hasard. Le temps ne passe qu’une fois et j’aime l’utiliser pour développer mes rêves et pas ceux de quelqu’un d’autre.

Ce que m’a appris l’écriture, les voyages et la musique, c’est qu’il ne faut pas avoir peur de la solitude. Elle est bénéfique pour se connaître et pour savoir dire STOP, OUI ou NON.

« Quand on planifie, on s’occupe vraiment des choses. Quand on ne le fait pas, on subit et on laisse notre temps au hasard. »

SPORT

Le sport c’est mon oxygène. Sans ça, il y a des galères que je n’aurais jamais pu surmonter. On en a tous nos armes pour avancer au quotidien – moi c’est le sport. J’ai pris mon indépendance grâce au sport, et j’ai enfin compris comment fonctionnaient mon corps et ma tête. Le sport demande de l’autodiscipline, de la rigueur, de se fixer des objectifs clairs, de travailler quotidiennement pour rester focus dessus et s’y tenir. Le sport est un moyen de se retrouver face à soi-même et contrôler ce qui se passe avec exigence et détermination.

« On en a tous nos armes pour avancer au quotidien. Pour moi c’est le sport. »

Chaque année, je me fixe de nouveaux objectifs. Cette année par exemple, mon objectif était de réaliser le triathlon international de Deauville en format olympique (1,5km de nage, 40 km de vélo et 10 km de course). Cela m’a demandé de l’entraînement physique et mental, de l’implication quotidienne. Mais c’est une grande fierté de m’y être tenu et de l’avoir fait !

Le challenge qui m’a le plus marqué est le championnat d’Europe Spartan Race que j’ai fait en septembre 2017. C’était sérieux : 2500m d’altitude, 27km à monter et descendre des pistes de ski et enchaîner 55 obstacles ! Je me rappelle, on a démarré un matin à 8h30 sous -4 degrés. Clairement, il fallait être motivé et préparé mentalement ! Mais j’avais des choses à aller chercher dans cette montagne, et j’ai ramené ce que j’avais à ramener. Chaque challenge est très personnel, tu le fais avant tout pour toi. Chaque victoire te permet de prendre un peu plus confiance en toi, d’être fier de ta détermination.

Cette vision du sport et ce goût des défis, j’ai voulu le partager avec les autres. C’est pour cela que je développe depuis un an la méthode Impulsion. A la base c’était un bootcamp de rue que je faisais chaque mardi et jeudi matin à 6h30 avant mes classes dynamo avec des gens qui voulaient se dépasser, et se fixer des objectifs. Cela s’appelait “L’armée de John”. Aujourd’hui, je travaille pour en faire un art de vivre avec des conseils sportifs et lifestyle (musique, nutrition, lecture), du coaching en groupe, des défis collectifs, et même des voyages sportifs. Pour le moment, on se retrouve tous les mardis soir à 19h15 à Palais Royal. Mon objectif sur le long terme est de créer une communauté solide de personnes qui partagent les même valeurs que moi de détermination et de dépassement de soi. Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin.

« Chaque challenge est très personnel, tu le fais avant tout pour toi. Chaque victoire te permet de prendre un peu plus confiance en toi, d’être fier de ta détermination. »

NUTRITION ET RÉCUPÉRATION

Quand on fait beaucoup de sport, c’est important d’avoir une bonne hygiène de vie. Je fais en moyenne 20 heures de sport par semaine (cours de dynamo inclus), alors il faut que je récupère.

’élément essentiel, c’est le sommeil. Je dors entre 6h et 8h par nuit. Pour m’endormir c’est concerto de piano obligatoire ! Il est aussi important de s’étirer souvent, et de bien s’hydrater. Je bois minimum 2 litres d’eau par jour. Je m’étire après chaque effort et le matin pour réveiller mon corps.

En plus, je fais une séance de cryothérapie minimum par semaine et un sauna. Une fois par mois, je vais me faire masser (c’est plus une question de budget, sinon j’irais toutes les semaines !). En priorité, je fais attention à mon psoas pour éviter toutes les douleurs sciatiques en le faisant masser en profondeur. J’utilise aussi beaucoup les rouleaux pour m’étirer au quotidien, même si la douleur est assez intense à l’étirement.

Pour entretenir mon corps, je fais un peu de musculation mais pas énormément car je m’ennuie assez vite ! Cela reste tout de même important pour le renforcement tendineux. Les muscles tiennent mieux et supportent mieux les efforts intenses.

Concernant la nourriture, je ne suis pas de régime alimentaire spécifique. Je sais ce qui me fait plaisir et quels sont au contraire les aliments mauvais pour ma santé. Ma peau est disons très communicative : si je mange quelque chose que mon corps n’apprécie pas, je suis au courant très vite. De manière générale, je mange correctement et je n’abuse pas des artifices. Les produits industriels c’est bien de temps en temps mais pas au quotidien. Si je devais décrire une journée classique dans mon alimentation :

Le matin : Je prends de la poudre crue type Eveil du Boudha chez Iswari et je mange quelques fruits (plutôt des fruits très vitaminés comme les oranges). Je finis avec un café et de l’eau.

Le midi : Je mange un plat consistant et équilibré avec un féculent (riz ou pâtes sans gluten), des légumes, et une protéine végétale ou animale

Au goûter : Je reprends de la poudre crue, un fruit et de l’eau

Le soir : Je mange plutôt un repas léger donc une soupe en hiver ou une salade en été, et des protéines végétales ou animales.

J’ai aussi intégré un geste simple dans mon quotidien pour renforcer mon corps : les probiotiques de Dijo. Cela aide mon corps à affronter les aléas et agressions au quotidien, les coups de fatigue (et les repas trop copieux).

Mon leitmotiv quotidien : facile, efficace !

Je suis convaincu que plus c’est mercantile et plus il faut s’en méfier. Chacun est différent donc il faut trouver la routine qui nous fait du bien. Les modes ne sont pas adaptées à tout le monde. Il faut écouter son corps, et répondre à ses besoins.

DYNAMO

Si j’ai voulu devenir coach dynamo à l’origine, c’était surtout pour allier ma passion pour la musique et le sport. La musique est l’élément clé pour s’inspirer et déconnecter, l’effort sportif intensif est lui un moyen de prendre conscience de son corps.

En donnant des cours chez dynamo depuis maintenant plus de 4 ans, j’ai réalisé que le plus important était mon envie de transmettre ce que le sport m’apporte dans ma vie, autant physiquement que mentalement. Chez dynamo, je suis là pour ouvrir des portes. Les touches matérialisent les difficultés à surmonter au quotidien. Dans le rouge, on est beaucoup plus réceptif et on ressent ses émotions profondes plus intensément mais il faut être prêt et j’ai bien conscience que je bouscule assez fort les personnes dans mes classes mais toujours avec bienveillance. dynamo c’est aussi du développement personnel. Je donne un cadre de réflexion que chacun doit exploiter dans sa vie à l’extérieur.

Mon métier est d’inspirer les gens chaque jour en fonction de ce que j’ai appris ou lu, des sons que j’ai pu découvrir et qui m’inspirent en ce moment. dynamo représente pour moi la liberté de m’exprimer pleinement, de vivre de ma passion, et de ce qui me fait du bien. Il y a pire comme métier, non ?

Si je devais me décrire comme coach dynamo, je dirais que je suis un OVNI. Un jour je vais mettre de la techno et partager un discours très introspectif, et le lendemain on va juste se défouler en double rythme pendant 45 minutes. Je n’ai pas de style, mais des envies et mes humeurs personnelles. Tout est pour moi une question de feeling ! Chez dynamo, on ressent et on vit avant tout, avec le groupe avec qui je partage ma classe. Je ne sais pas l’expliquer mais je m’adapte pour créer une interaction et une magie.

Ma plus grande fierté chez dynamo c’est quand j’arrive à être entier et partager pleinement. C’est vraiment l’amour sans condition et c’est courageux de donner sans rien attendre en retour.

« Chez dynamo, je suis là pour ouvrir des portes. Les touches matérialisent les difficultés à surmonter au quotidien »

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